Les pas-pareils : Indonésie
A chaque pays son lot de surprises…Second chapitre de la catégorie des « pas-pareils ».
Le monde à portée de pieds
A chaque pays son lot de surprises…Second chapitre de la catégorie des « pas-pareils ».
Voilà ce qui nous aura plu avec l’Indonésie : en six jours, on peut respirer des vapeurs de soufre, nager avec des requins, faire du surf, admirer de minuscules crevettes transparentes, etc. etc…
Comme s’il fallait systématiquement, pour découvrir un pays, attendre la fin du séjour, nous avons enfin fait des rencontres d’Indonésiens.De vraies belles rencontres.
Pourquoi nous avons emporté palmes, masques et tubas ? Parce qu’en cinq minutes de plongée on découvre plus d’espèces marines qu’on ne rencontrera d’espèces terrestres en toute une vie !
L’Indonésie, c’est beau.Mais c’est grand. Et c’est compliqué.Un petit aperçu de ce qui fait aussi le charme des voyages… ou pas.
Imaginez une île. Au milieu de cette île, une caldera qui résulte de l’effondrement d’un volcan qui faisait autrefois plus de 5000 mètres.Au milieu de cette caldera (l’immense cratère), imaginez un lac.Au milieu de ce lac, un autre volcan.Et au milieu de ce volcan… de la lave en fusion !
Les parcs de Sumatra et Bornéo étant trop éloignés, nous optons pour un des parcs de Java, le parc de Baluran qui a la bonne idée d’associer jungle et mer.
Le plus grand lac acide du monde, une exploitation de soufre et au-dessus… notre tente.
Le soleil se lève à peine et nous sommes tous les trois au sommet de Java, quand le silence est rompu. La montagne gronde, un gros nuage de fumée nous passe à côté : ça y est, le Semeru s’est réveillé !
… au Népal, et le début des vacances en Indonésie !Cette fois, nous commençons vraiment à comprendre que nous sommes partis pour longtemps : quitter un pays après y avoir passé plus d’un mois… pour ne pas rentrer chez soi, c’est inédit.
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