Barbie à la plage

Deuxième tentative d’approche de la Grande Barriere de Corail avec Great Keppel Island, île au large de Rockhampton qui nous avait été conseillée.
L’île n’est pas à proprement parler sur la Grande Barriere mais les récifs sont réputés très riches.

Injuste milieu

Notre objectif était de planter la tente sur la minuscule île déserte de Middle Island mais manque de bol, l’accès y est interdit pendant un mois : c’est trop injuste !

Pélican

Nous prenons donc le ferry pour sa grande sœur Great Keppel Island, plus construite mais assez paisible, surtout à cette période de l’année. La plage principale est superbe, le sable crisse sous les pieds comme nous le constaterons ailleurs en Australie et ça, c’est rigolo.

Great Keppel Island Goéland

La première journée nous plongeons la tête sous l’eau… qui une nouvelle fois s’avère glaciale. La faune est plus riche qu’aux Whitsundays mais malheureusement pas exceptionnelle. Nous croisons quand même quelques raies pastenagues et de gros bancs de poissons. Farniente sur la plage et bataille de sable.

Fleurs

La bonne nouvelle c’est que nous sommes tombés le soir du barbie (barbecue) gratuit à notre camping ! Saucisses, noix de St Jacques, calamars et côtes de bœuf à volonté, et un vrai morceau de vie à l’Australienne.

Opossums

Nous rencontrons nos premiers opossums., ces marsupiaux qui descendent des arbres la nuit et essayent de chiper toute nouriture abandonnée (ou non).

Opossum

Fourbes, mais très mignons, surtout quand une petite queue poilue dépasse de la poche gonflée d’une maman.
Le deuxième jour nous rejoignons Clam Bay à l’autre bout de l’île après une jolie balade. A l’arrivée nous ne verrons pas toutes les merveilles promises sous l’eau… car elle est VRAIMENT trop froide.

Punaise ! Ceci est un papillon

Au final, pas l’extase qu’on espérait sous l’eau, mais deux jours sympas sur une jolie ile… ponctués d’un bon petit « barbie » !

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4 réponses

  1. La photo du pélican est superbe ! Et celles de mes deux soeurs encore plus bien sûr ! 8)

    En ce qui concerne l’eau VRAIMENT trop froide, quand deux bretonnes vous le disent comme ça, je n’ai VRAIMENT aucun doute là-dessus.

    Par contre je reste un peu sur ma faim en ce qui concerne l’opposum, j’ai cru comprendre qu’il y avait une histoire de chapardage dont on aurait pas encore eu tous les détails ?

  2. Danielle dit :

    C’est injuste, Frédéric m’a devancée, moi qui mets un point d’honneur à être la première des commentateurs ! Je ne m’en remettrai pas, c’est sûr.
    Toujours autant de plaisir à découvrir vos articles, leur humour et les belles photos.
    Mais que tient le pélican dans son bec ? Est-ce un pélican architecte avec un fil à plomb ?
    Cela fait plaisir de voir les beaux sourires des deux soeurs sur la plage.
    Et désolée de vous contredire, ceci n’est pas un papillon. Posez la question à Magritte qui vous le confirmera.

  3. Poune dit :

    Lorsque le pélican, lassé d’un long voyage,(ça n’a pas l’air d’être votre cas)
    Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux,
    Ses petits affamés courent sur le rivage (j’en ai repéré deux sur la plage)
    En le voyant au loin s’abattre sur les eaux. Si cei n’est effectivement pas un papillon, les yeux rouges confirment qu’il s’agit bien d’un opossum nambule
    bises

  4. Sandra dit :

    Que de bons souvenirs à nouveau !!
    Je suis vraiment ravie de revoir tout ça !
    Que de bons moments partagés !
    Des belles images, des belles histoires…
    Plein de bises à vous deux !
    Moi j’aurais quand même préféré Ken à la plage !!

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